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"Gestion
de la production et de la logistique"
Planification et conception de processus de création
de valeur
Extraits de l'ouvrage
de Hans-Dietrich Haasis - Muriel Major Poungom
Tchiendji
Editions Publibook
- Préface
- Chapitre 5. La coopération de la multimodale supply chain
- Chapitre 11. Les tendances de développement
Chapitre 11. Les tendances de développement
La
création de valeur conduit à une valeur
ajoutée du produit ou du service pour le client.
Le processus de création de valeur représente
une succession aux activités qui ajoutent ou créent
seulement la valeur pour un produit ou un service.
Ces activités se réfèrent à l’ensemble de la chaîne
d’approvisionnement ou de la chaîne de création
de valeur. C’est pourquoi aussi bien la production
que la logistique sont essentielles pour la création
de valeur. Elles forment pour ainsi dire les deux
faces d’une médaille.
La production et la logistique ensemble sont très
souvent comprises aussi comme processus de création
de valeur. La création de valeur de l’avenir suivra
certaines tendances du développement. Celles-ci
sont déterminées de façon pertinente par les conditions
et les possibilités de production et de la logistique.
La production et la logistique de l’avenir peuvent
être décrites différemment, mais demeurent toutefois
une esquisse. L’avenir peut avoir d’autres points
centraux, bien que quelques-uns soient déjà marqués.
Dans cet apport, la production et la logistique
de l’avenir sont décrites à l’aide des caractéristiques
bien choisies, et ce en se penchant au mot anglais
LOGISTICS :
- Lead Factor,
- Optimised VALUE,
- Global Sourcing, Production and Distribution,
- Intelligent,
- Sustainable,
- Team Knowledge,
- Interfaces,
- Client Driven,
- Security and Safety.
Ensemble, ceux-ci se présentent comme des parenthèses les pilotes possibles de développement. En effet, cette 400 parenthèse, l’intégrante et l’étendue marqueront la production et la logistique de l’avenir.
La mise en valeur de la logistique induite par le choix de ces caractéristiques est souhaitée. Elle souligne son importance pour le développement de la création de valeur global. L’importance apparaît dans la capacité à planifier et à gérer des systèmes commerciaux et les systèmes de production modernes en tant que réseaux mondiaux et complexes à la satisfaction des clients.
-
L : Lead Factor Logistics
La logistique aujourd’hui traite et augmente dans
l’avenir, l’organisation au-delà des interfaces
de la création de valeur, qui en tant que processus
de la chaîne d’approvisionnement planifie, coordonne
et contrôle le flot des produits et des services
ainsi que des informations le long de l’ensemble
de la chaîne s’y rapportant. Cette organisation
de processus et de système étendue et cette intégration
fait de la logistique aujourd’hui et aussi au
cours des prochaines années, l’élément de stratégie
du premier plan et donc le Lead Factor
d’une politique d’entreprise tournée vers l’avenir
pour des entreprises produisant et des entreprises
prestataires de services. Celui- ci vaut la peine
d’être ancré dans la direction de l’entreprise
et mis dans l’ordre du jour politique.
De même, l’efficacité d’une région dépend de la
présentation et de l’évaluation de ce Lead
Factor, c.-à-d. de la capacité de la maîtrise
de la complexité dans les déroulements orientés
vers la clientèle au-delà de l’entreprise. Celui-ci
de la même manière est un moteur d’innovation
et de la concurrence. Avec cela, des défis en
logistique de l’économie d’entreprise et de l’économie
de circulation sont marqués aujourd’hui par des
relations dans les marchés mondiaux, un comportement
d’offre orienté vers la clientèle, un comportement
de la demande optimisé par les coûts, l’organisation
et la gestion des chaînes de logistique et des
systèmes coopératifs ainsi que l’application de
nouveaux systèmes logistiques d’information. Ainsi,
faut-il prendre en considération lors de la présentation
de ce Lead Factors que la concurrence
ne s’oriente pas seulement qu’entre les entreprises,
mais de plus en plus entre les chaînes logistiques
et les secteurs d’emplacement logistiques connectés
en réseau. De cette façon, on en vient à de nouvelles
répartitions des tâches dans les réseaux de création
de la valeur, à un transfert de processus de production
ainsi qu’à de nouveaux produits logistiques.
L’offre orientée vers la clientèle exige si possible
d’une main, une maîtrise actuelle qualitativement
excellente de la complexité logistique, une orientation
durable ainsi qu’une gestion simple. En raison
de l’importance croissante du e-business,
et du m-business, on en vient au cours
des prochaines années à des restructurations essentielles
des processus de décision et commerciaux entre
fabricants, le commerce et les clients. Ces restructurations
ont aussi des impacts sur la technique de procédé
logistique, sur les innovations de produits logistiques,
sur les services de plus-value de l’économie de
production transférés et sur les systèmes logistiques
coopératifs.
Par cette nouvelle structuration de l’économie
de production et de la logistique, le développement
et l’organisation de solutions innovatrices sont
caractérisés non seulement par une approche flexible
et interdisciplinaire en groupe, mais plutôt par
un point de vue reliant les systèmes micrologistiques
et les systèmes macrologistiques : une
innovation par une mésologistique, c.-à-d.
une optimisation globale du système logistique,
de transport et de développement d’emplacement.
-
O : Optimised Value
Lors de la prise en compte de l’organisation du
système au-delà des interfaces, une importance
particulière échoit au cours des prochaines années
à l’optimisation étendue et à la mise à disposition
des modèles de financement, d’organisation et
de décision opérationnels, tactiques et stratégiques.
Dans ce cas, il s’agit alors principalement de
la compensation du risque et du revenu qui convient
à ce point de vue intégral. L’ouverture effectuée des marchés internationaux
implique des réflexions compréhensibles visant
des stratégies de distribution, d’approvisionnement
et de production transmises globalement aussi
pour de petites et moyennes entreprises. Dans
cette stratégie, des questions de l’allocation
des activités dans la chaîne à création de valeur
sont également essentielles. Ainsi il en vient
visiblement dans le cadre d’un Global Sourcing
et d’un Global Distribution, à un décalage
d’emplacements de logistique et de production
et des fonctions nodales analogues (par exemple
en rapport avec l’approvisionnement du marché).
Ceci nécessite une analyse détaillée et un monitoring
des marchés d’approvisionnement, des marchés de
distribution, de la structure de fournisseur et
des exigences de client ainsi que la logique de
processus sous-jacente. Un flux d’informations bien structuré et technoorganisationnel
assuré représente un élément essentiel lors de
la construction et lors de l’optimisation des
structures et des déroulements logistiques et
de l’économique de production. La complexité dynamique
et structurelle de réseaux logistiques et de l’économie
de production implique de ce fait des principes
d’orientation et d’organisation qui rendent la
complexité maîtrisable à travers l’Intelligence.
Sustainable veut dire : durable. Le développement
durable est connu à la base comme un principe
économique, basé sur le rapport de la Commission
Mondiale pour l’Environnement et Développement
apparu déjà en 1987 et qui laisse comprendre,
que les générations futures ne doivent pas se
sentir menacées dans la satisfaction de leur besoin
et dans le choix de leurs styles de vie à cause
des gaspillages de la génération actuelle. L’amélioration de la coopération des acteurs le
long d’une chaîne de création de valeur internationale
(par exemple expéditeurs, sociétés d’armateurs,
opérateurs de transbordement et opérateurs portuaires,
transporteurs), exige des voies basées sur la
connaissance : Team Knowledge est demandée.
La défragmentation croissante de la chaîne de
création de valeur et l’expansion des réseaux
des services et de production globaux conduisent
de plus en plus à plus de partenaires dans les
processus de performance au-delà de l’entreprise.
Parallèlement à cela, les temps de réaction disponibles
pour le succès de la concurrence se raccourcissent.
L’efficacité économique de production et logistique
d’une entreprise dépend de sa capacité de la maîtrise
de la complexité dans les déroulements orientés
vers la clientèle au-delà de l’entreprise. Cette
complexité est influencée largement par le nombre
et l’organisation des interfaces. La fabrication en grande série individuelle
par client a pour objectif de combiner les
avantages de la production en masse avec ceux
de l’individualisation de client. Les premières
approches de ce client driven production
se trouvent en marketing, dans la planification
des produits et dans la planification et l’orientation
de la production. Dans les chaînes de création de valeur internationales,
le thème de la sécurité joue de plus en plus un
grand rôle dans les deux expressions Security
(p. ex. la protection contre des mesures terroristes,
de la contrebande, du vol) et Safety
(la protection contre les actions d’un tiers,
comme des événements inattendus). Ainsi, par exemple
au cours d’exigences de sécurité renforcées dans
le transport de conteneurs, de nouvelles exigences,
qui peuvent être implémentés aussi bien au niveau
de l’organisation que par l’application de nouvelles
technologies à chaîne échoient à tous les participants
dans la chaîne d’approvisionnement. Il faut s’attendre
prochainement par exemple à ce que le code ISPS
introduit dans les ports ainsi que dans les sociétés
d’armateurs en juillet 2004 soit étendu par une
directive de la Commission Européenne à des chaînes
intermodales et qu’ainsi le cercle soit étendu
au concerné. En outre, il existe des approches
qui consistent à soutenir le thème de sécurité
par des mécanismes de sécurité mécaniques et électroniques
comme des hauts sceaux de sécurité, sceaux
électroniques ainsi que des « smart de conteneurs
» ayant des sondes supplémentaires. Spécialement
aux sceaux électroniques, des propositions de
normalisation sont disponibles entre-temps avec
l’ISO ; on s’attend à une adoption prochaine de
ces normes. Il est donc important pour les participants
à la chaîne de création de valeur de se pencher
pro-activement sur les exigences techniques résultant
ainsi que sur les liens organisationnels et de
développer un contrôle de sécurité dans
l’entreprise et dans la chaîne d’approvisionnement. Chapitre
5.
La coopération de la multimodale supply chain 5.1 La motivation et les objectifs Les objectifs La
motivation Vous
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L’organisation économique des chaînes de création
de valeur étant en concurrence est marquée de
façon pertinente dans ce contexte par deux branches
de développement : D’une part, des transferts
de décision et d’activité entre l’économie de
l’expédition et le prestataire de services de
logistique doivent être constatés, d’autre part,
la demande de solutions intermodales résulte en
raison des difficultés de mobilités induites au
niveau de l’organisation et au niveau infrastructurel.
Les deux branches de développement économiques
importantes s’influencent mutuellement et montrent
des conséquences sur la configuration aussi bien
que sur la coordination des chaînes de création
de valeur des produits logistiques en question.
Des potentiels de changement de créateurs ressortent
de la mise à disposition et de l’utilisation des
espaces de communication appropriés, par les profils
de performance marqués par la coopération, la
qualification et la communication des capacités
logistiques et une gestion d’interface technico-organisationnelle.
Dans ce contexte, les facteurs d’innovation sont
du côté de l’Information et Communication, ainsi
que de la communication mobile donc aussi de la
conception de produit, du développement technologique,
de l’intégration du système, des concepts de risque
et de financement, de la conception, de la coopération,
de l’intégration de capacités et des services
de plusvalue.
Le rôle du concepteur est aussi à inciter
plus loin l’un sur l’autre la gestion de l’entreprise
et l’économie de la circulation, par exemple par
la modération de la variété des acteurs, avec
pour objectif, de pouvoir proposer et de faire
appliquer si possible une solution économique,
flexible et tournée vers l’avenir pour tous les
participants par une évaluation au-delà du processus.
Dans ce contexte, l’optimisation au-delà des interfaces
de la valeur du produit et du service atteint
est une caractéristique essentielle d’une considération
de système. Pour cela, des approches des Operations
Research sont utilisées de plus en plus et des
systèmes ERP traditionnels sont étendus
au APS (Advanced Planing Systems) ou
sont couplés avec ceux-ci. Des caractéristiques
de cet APS sont l’utilisation de technologie de
l’information moderne, l’application de modèles
de décision actuels et la garantie d’une transparence
et d’une efficience dans la modélisation et le
soutien de décision. APS a accès aussi bien aux
modèles de processus commerciaux comme base initiale
organisationnelle que des condenseurs d’informations
visant la mise à disposition d’informations importantes
pour les décisions et d’instruments méthodiques
au soutien de décision réel. Les données nécessaires
peuvent d’une part être déposées sur un serveur
central, mais aussi d’autre part elles peuvent
être organisées de façon décentralisée sur l’interface
Internet. Ainsi, une transparence d’information
plus élevée est réalisée sur l’utilisation de
l’Internet.
G : Global Sourcing, Production
Le transfert sauve des chances importantes à la
présentation de l’offre de produit des entreprises
participantes de la chaîne. Les marchés importants
actuellement connus sont la Chine, la Russie,
les pays d’adhésion à l’UE ainsi que l’Inde, l’Afrique
du Sud et le Brésil. Les déclencheurs perceptibles
de délocalisation sont les coûts de maind’oeuvre
plus faibles, une plus faible taxation, plus d’heures
de travail par période, une plus grande productivité
ainsi que de plus faibles standards sociaux et
de l’environnement. Cependant, la délocalisation
est liée à des risques par exemple concernant
la qualité de performance et de produit réalisable,
la fiabilité et la force d’innovation des partenaires,
les risques sur le parcours, les problèmes politiques,
les risques monétaires et de contrat.
I : Intelligent
Des réseaux de logistique occupent donc dans la
recherche actuelle une position saillante : le
domaine de recherche spécial 559 à Dortmund visant
la modélisation de grands réseaux en logistique,
le domaine de recherche spécial 637 à Brême visant
l’auto-orientation de processus logistiques. L’autogestion
signifie ici la coordination décentralisée des
objets logistiques autonomes dans une structure
organisationnelle lors de laquelle l’autonomie
des objets logistiques tels que les colis, les
palettes et des conteneurs est rendue possible
par de nouvelles technologies des communications
et d’information. Sur cette base, des processus
peuvent être optimisés, des temps peuvent se raccourcir
et des frais réduits. Des solutions modernes doivent
être en mesure non pas seulement d’identifier
sûrement les objets de natures différentes et
dans des conditions ambiantes changeantes, mais
en outre de localiser, de communiquer avec eux,
de les diriger et de les orienter. Des conditions
pour cela sont des normes uniformes, une interconnexion
et un flot de l’information précédant. Par l’utilisation
de RFID et de la technique sensorielle,
des objets peuvent être équipés pour cela avec
« intelligence ». Des processus commerciaux
peuvent être réorganisés par la fusion de la technologie
du RFID dans les systèmes ERP. De cette façon,
les informations se développent comme un des produits
les plus importants en logistique et production.
S : Sustainable
Si on considère l’explication du principe économique,
selon laquelle le principe de passage basé sur
des processus de production et de consommation
d’aujourd’hui, on voit que, à cause seulement
du fait que les capacités et les ressources disponibles
sont limitées, celles-ci ne peuvent être maintenues
illimitées. L’économie durable devient
de fait, l’un des défis actuels et futurs essentiels
pour la production et la logistique.
Il existe déjà aujourd’hui les approches auxquelles
l’organisation de jeu d’équipe de la
production et de la logistique dans le sens d’un
développement durable orienté vers la clientèle
réussit sur la trame de l’importance des chaînes
à création de valeur et des réseaux d’entreprise.
Ces solutions se concentrent sur la préservation
des ressources, la protection de
l’environnement et la responsabilité
sociale. Pour leur application, une approche
interdisciplinaire est indispensable. Cela se
justifie par les connaissances des circonstances
techniques, écologiques, sociales et économiques
nécessaires à l’identification, à l’analyse et
à l’évaluation.
Il devient par exemple nécessaire pour ces solutions
d’organiser de manière efficiente l’utilisation
énergétique et les biens ainsi que d’ajouter ceux
anthropogènes qui sont créés aux cycles naturels.
De plus, il faut une conception de produit et
de coopération qui permet de réaliser des milieux
de développements attrayants pour l’apprentissage,
orientés vers le dialogue pour les acteurs participant
à des chaînes de création de valeur et réseaux
d’entreprise internationaux généraux.
Pour la réalisation d’une économie durable, un
rôle important est accordé à l’économie de
cycle depuis des années. Conformément au
niveau de considération choisi, trois étapes d’agrégation
des cycles au moins peuvent ainsi être différenciées
: les cycles d’installation, les cycles de production
et les cycles de produit. Pour réaliser ces cycles,
il faut à côté de la mise à disposition de technologie
de production appropriée, identifier, organiser,
évaluer, optimiser et réaliser des systèmes logistiques
nécessaires. De cela fait également partie une
identification des tâches logistiques et de l’économie
de production et des services ainsi que leur attribution
organisationnelle à des acteurs économiques. Face
à cette situation, une importance croissante échoit
à des prestataires de services de logistique,
particulièrement par rapport à l’organisation
et à la mise en fonction de ces systèmes coopératifs
et de la qualification d’environnements de l’économie
de production et des chaînes de création de valeur
internationales liée qui y sont liés.
T : Team Knowledge
Une gestion de connaissance de l’entreprise
est donc aussi nécessaire, tout comme le transfert
de savoir-faire le long de la chaîne de création
de valeur. En outre, il est nécessaire de pouvoir
positionner des emplacements sur leur qualification
dans le cadre des régions de connaissance en tant
que partenaires des réseaux internationaux (par
exemple dans le cadre des coopérations des ports
maritimes, des coopérations entre les centres
logistiques).
Ainsi, il faut pour plus de visualisation, pour
le renforcement et pour la connexion de l’excellence
logistique et de l’excellence de production diverses
généralement disponibles à des emplacements, également
la préparation et l’application des mesures coordonnées,
qui renforcent continuellement le potentiel, l’attractivité
et la productivité de l’emplacement. Enfin dans
la chaîne de création de valeur, à côté de l’orientation
vers les clients, la gestion de connaissance et
de coopération formera principalement plus loin
la production et la logistique au cours des prochaines
années dans la concurrence internationale.
Justement la compétitivité des petites et moyennes
entreprises est marquée de plus en plus par leur
capacité, à pouvoir entrer organiser et actionner
en coopérations. Les coopérations ne se réfèrent
pas seulement dans ce cas à des fournisseurs et
à des clients, mais aussi à d’autres partenaires,
des parties prenantes et même des concurrents
de l’entreprise. En raison de leur fusion généralement
régionale et de leur engagement régional, une
gestion de coopération régionale est
également de ce fait essentielle pour les plus
petites entreprises, dans le sens du « Think global,
act local ».
I : Interfaces
Des nouvelles répartitions des tâches dans les
réseaux de création de valeur ainsi que des nouveaux
produits logistiques renforcent le besoin en une
gestion d’interface qualifiée. Ainsi, par exemple
il en ressort des interfaces entre les entreprises,
les processus commerciaux, les technologies de
l’information, les porteurs de décisions, les
responsables de transport et les directives.
Enfin, une offre orientée vers la clientèle signifie
une excellente orientation et organisation de
ces interfaces ainsi qu’une maîtrise de la complexité
à la base dans la logique structurelle et de processus.
L’efficacité y est influencée par des obstacles
infrastructurels et organisationnels ainsi que
par des activités d’outsourcing entre expéditeurs
et prestataires de services.
C : Client driven
Entre-temps, cette approche peut aussi être transférée
sur des stratégies de différenciation de produit
en vue des chaînes de création de valeur logistiques.
Les solutions impliquent une individualisation
dans l’organisation des chaînes et les effets
d’échelle en rapport avec les approches de collimation
et d’intermodalité. Pour cela tout d’abord, des
modules logistiques appropriés entre autres, pour
le transport, pour le stockage, pour l’entassement,
pour l’ajournement et pour les Value Added Services,
doivent être identifiés, décrits et analysés.
Les modules comprennent notamment les entrepôts,
les centres d’emballage, les centres de groupage,
les Cross Docking Stations, les terminaux de transbordement,
les relations de train, les centres de services,
les centres de transport des marchandises, la
city-logistic et la last mile logistic. Conformément
au système considéré, des modules peuvent être
résumés et organisés en des unités plus agrégés.
Le résultat est un portefeuille des variétés de
chaîne d’approvisionnement modulaire arrangé et
individuel de clients. Cela peut être utilisé
pour la présentation d’une offre de produit individuelle
de client pour un emplacement ou une chaîne. De
cette façon, des canaux alternatifs de distribution
ou d’approvisionnement peuvent être offerts conformément
aux conditions de produit et aux souhaits des
clients.
S : Security and Safety
Après la lecture de ce chapitre, vous devriez
être en mesure de :
Dans une économie universellement interconnectée,
la logistique est inconcevable sans coopérations.
Aujourd’hui, ce ne sont plus les différents transports
mais des solutions globales pour une coopération
complexe des marchandises, des informations et
des services à valeur ajoutée, qui se trouvent
plus au premier plan. Le temps, les coûts, la
qualité et le risque sont des critères décisifs
qui sont différemment bien empreints chez les
différents modes de transport et les corridors
de trafic. Des synergies peuvent être exploitées
par une interconnexion et des avantages de spécialisation
peuvent être atteints.
Dans ce chapitre, vous aurez un aperçu des différentes
possibilités, techniques et critères de qualité
de différents systèmes de logistique économiques
de circulation. Ainsi, les chaînes d’approvisionnements
multimodaux se trouvent en particulier au premier
plan. L’attention particulière est portée sur
le maniement des interfaces entre les modes de
transport, mais aussi entre les acteurs logistiques.
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